Les
quatre
(4)
enquêtes
ont
permis
de
questionner
un total
de 1304
adultes
sur
leurs
habitudes
alimentaires.
La
dernière
enquête
a été
effectuée
auprès
de 300
adultes
dans la
région
métropolitaine
de
recensement
de
Montréal
afin de
mesurer
les
changements
des
habitudes
alimentaires
associés
à une
liste de
10
risques
(tels
que la
vache
folle,
les gras
trans,
la
grippe
aviaire...)
et à une
liste de
10
bénéfices
(tels
que les
Oméga-3,
les
fibres
alimentaires,
les
probiotiques...).
Comparativement
à 2004,
quatre
enjeux
liés au
risque
ont
connu
une
hausse
significative
de leur
portée
en 2007
: "les
gras
hydrogénés
ou trans"
(avec
+17,9
points),
"la trop
forte
teneur
en sel"
(avec
+15,2
points),
"la trop
forte
teneur
en
sucre"
(avec
+12,8
points)
et "les
fruits &
légumes
et la
crainte
des
pesticides"
(avec
+6,2
points).
"Plus la
science
progresse
en
expliquant
les
bénéfices
ou les
risques
des
aliments,
plus les
médias
exposent
les
conclusions
de ces
recherches
et plus
les
individus
ressentent
une
pression
pour
changer
leurs
comportements
alimentaires.
C'est la
définition
même du
stress
alimentaire."
a-t-elle
ajouté.
Selon le
dernier
sondage,
65,7%
des
répondants
ayant
tenté un
changement
d'habitude
alimentaire
l'ont
fait
principalement
"pour
réduire
le
risque
de
développer
une
condition
physique
particulière
ou une
maladie".
Uniquement
13,8%
des
répondants
de 2007
affirment
avoir
entrepris
un tel
changement
"pour
suivre
une
recommandation
de leur
médecin".
"Le
stress
alimentaire
n'est
pas
uniquement
l'apanage
des
personnes
âgées
à la
santé
fragile.
La saine
alimentation
est
aussi
une
préoccupation
partagée
par tous
ceux qui
désirent
rester
en
santé."
rajoute
madame
Paquet.
Le
dernier
sondage
sur le
stress
alimentaire
a été
conduit
par Echo
Sondage
Inc pour
le
compte
d'ISA du
mardi 4
septembre,
au
mercredi
19
septembre
2007.
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